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mardi, juillet 11, 2006

Cette ruche contient de bonnes abeilles...

Je viens de finir une longue semaine de travail et je suis très fatigué...

Je n'ai encore rien lu de l'actualité et ça ne m'intéresse pas. Il y a bien le mouton insignifiant qui a dit la semaine dernière que la souveraineté du Québec ne serait pas l'enfer appréhendé... et la rencontre de Harper et son copain que je pourrais commenter, mais ça me tente pas. À l'heure où j'écris ces lignes, je fais le tour de mes carnets préférés... et je suis loin d'avoir fini.

Ce billet ne concerne que les carnetiers participant à La Ruche. Un autre suivra... pour les autres carnetiers libres.

Le vieux Henri m'a fait revenir en novembre 2002 avec ce billet... Contrairement à certaines personnes autour de moi, je n’ai pas pleuré, même si j’étais (et je le suis encore) triste. Tu n'avais pas à pleurer mon vieux parce que la mort, je persiste et je signe, c'est un cadeau. Il faudra bien en parler régulièrement un jour.

Plus de billets que d'habitude dans le carnet ExLibrex la semaine passée. Certains m'ont déclenché un éclat de rire comme celui-çi... Si jamais vous constatez que je me présente à la direction du P.Q;... le test sera concluant… Il y a aussi Torpeza qui s'est manifesté... Tout est dans ma tête, je ne suis pas vide mais je ne trouve pas les mots qui traduisent exactement ma pensée. Ça ne se peut pas que tu sois vide Torpeza, tu cotoies mon ami Esperanza. ;-)

Dans le Salon Bleu, il n'y a eu qu'un seul billet la semaine passée. Les propos avancés par M. Néron, dans son éditorial du mardi 4 juillet 2006, sont, à mon avis, amplement trop optimistes pour concorder avec la réalité. Mon cher JF, ton billet est relativement intéressant mais... C'est qui M. Néron ? Il a dit quoi ? C'est la première phrase de ton billet mais... on ne sait pas de quoi tu parles !

Autrement dit jeune homme, j'aurais aimé que tu mettes plus d'effort dans ce billet. Tu nous donnes ton avis, mais c'est pas clair. Nous avons deux ministres qui sommes supposés nous servir et, lors de la signature du dernier contrat de travail des employés d’Alcan, la région a souffert terriblement de leur manque respectif de leadership. Comment ça ? Depuis quand les ministres ont leurs mots à dire dans la négociation d'une convention collective ?

Si je suis critique envers toi mon cher JF, c'est que je sais que tu peux faire mieux. J'aime ça te lire mais dans ce billet, j'ai l'impression qu'il me manque quelque chose. ;-)

3 Comments:

At 6:01 p.m., Blogger Frédéric Pauzé said...

Mon cher Guy,

Si je n'étais pas critiqué, comment, alors, m'améliorerais-je ?

C'est vrai que ce billet est un peu garoché. Initialement, c'est un texte qui est paru dans Le Quotidien, un journal régional appartenant à GESCA.

M. Néron est l'éditorialiste de ce journal. Il avait écrit un texte comme quoi le réglement de la convention collective était la plus belle chose qui puisse arriver au Saguenay.

Qu'est-ce que les ministres peuvent changer aux conventions ? Je réponds par une autre question : Quel est l'avantage à avoir un ministre dans une région ?

Pour moi, c'est évident qu'il y en a pas. Nous avons, dans Jonquière, le ministre du Travail... qui a regarder passé 1100 emplois "alcan" vers la sous-traitance. C'est une baisse de plus de 30% de la masse salariale pour ces 1100 emplois.

Une autre question : un ministre (du travail) est-il supposé être en mesure d'aller chercher des enveloppes monétaires pour une région. La réponse s'impose d'elle-même : le leadership dans les dossiers, cest son travail.

Faire une annonce selon laquelle le gouvernement octroie un certain montant d'argent pour assurer la survie du Complexe Jonquière aurait, à mon avis, permis de réduire le nombre d'emplois qui passent à la sous-traitance vers les 900.Ça aurait été tout de même 200 emplois de plus avec un salaire nettement plus élevé et, pour une économie de région en peine comme la notre, c'est considérable.

J'ai publié ce billet dans Le Salon Bleu principalement pour les lecteurs de ma région. Je réalise aujourd'hui l'imcompréhension que vous avez du éprouver en me lisant.

Si j'écris moins, ces temps-ci, c'est principalement parce que j'en ai pas envie. D'ici la fin de la semaine, je risque probablement d'annoncer que Le Salon ferme ses porte jusqu'à la fin août. Idem pour ma participation dans La Ruche.

J'ai vraiment besoin de ressourcement, et écrire des textes que je juge médiocres ne m'intéresse pas. J'ai l'impression qu'en écrivant, rien de bon ne sort, actuellement.

Une pause me ferais énormément de bien. Tu l'as constaté, Guy, il y a des choses qui manquent dans mes écrits. J'ai laissé de côté trop longtemps un carnet qui a un certain potentiel ( Une course...) et, lorsque je recommencerai, j'ai bien l'intention de ne pas vous décevoir.

Merci encore de m'avoir critiqué. Venant de toi, c'est toujours apprécié.

Jean-Frédérick

 
At 9:16 p.m., Anonymous Anonyme said...

J-F, même les abeilles ont le DROIT de se reposer... T'es un grand! Ça promet tellement... Pas mal plussssse que la rentrée à TVA !;-)

 
At 10:45 p.m., Anonymous Anonyme said...

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