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samedi, juin 03, 2006

Chronique d'un samedi sous la pluie...

Une bonne bière, ça dégèle les mâchoires !

Ouais.

Une conversation carnètique autour d'une "coupel" de bières m'a fait réaliser que le carnet sur lequel nous travaillons a un immense potentiel. Cette ruche est une véritable innovation qui arrive juste à temps, le temps de l'invasion des blogues par les médias traditionnels.

Parce que oui, c'est une véritable invasion. Hypothèse: Les MT n'ayant pas le choix de parler des blogues, les blogues étant de plus en plus populaires, ceux-ci ont décidé d'en créer une tonne de copies, pour ne pas avoir à commenter les blogues citoyens qui existaient déja.

Avez-vous écouté la nouvelle chronique de Dominic Arpin à TVA ? Il en est le parfait exemple. Sa nouvelle job consiste à faire le tour du web et de faire des reportages avec ses trouvailles. Sauf que, quelles trouvailles ?

Évidemment que, convergence oblige, ce sera les amis de Quebecor plus souvent qu'autrement.

Il a un nouveau blogue depuis hier. Lisez-bien ceci: « L’heure est venue de voler de mes propres ailes. Après quelques semaines à partager l’appartement surchargé du blogue de Canoë, me voici enfin seul dans mon 3 et demi, chauffé et meublé. Le bonheur. Sauf que là, personne ne va m’aider à payer le loyer et encore moins à attirer les lecteurs. »

Hahaha...

Voler de ses propres ailes mon oeil. Non mais, juste à regarder l'adresse du blogue, on voit bien que ce blogueur ne vole pas de ses propres ailes. Il ose écrire que personne ne va l'aider à payer le loyer et encore moins à attirer les lecteurs. Ah ouais ??? Son blogue a été lancé hier... et a déja fait l'objet d'un reportage à TVA. Personne ne va l'aider qu'il dit ? Ce blogueur prend vraiment les gens pour des imbéciles. Le pire, c'est qu'il ne s'en rend pas compte !!!

Tout ça pour dire que les carnetiers libres ont un potentiel extraordinaire... qu'ils se doivent d'exploiter, maintenant. Parce que c'est maintenant qu'il y a invasion. Il faut dire à nos lecteurs que les MT sont encore en train de leur en passer une "vite". Il faut le dire à nos lecteurs que les blogues ne sont pas qu'insipidités. Il faut le dire qu'il existe aussi les carnets.

J'ai mis beaucoup de temps pour La Ruche dans les dernières semaines. Jusqu'à hier, je me demandais si ce n'était pas trop. Les effluves de l'alcool en bonne compagnie aidant, j'ai désormais une réponse, toute personnelle. Non. Je ne met pas trop de temps. Présentement, je participe à quelque chose de complètement génial, la résistance de la libre expression citoyenne sur le net.

Oui, nous les carnetiers libres sommes des résistants. Et il faut, je pense, nous voir comme ça. Non mais sérieux, l'envahissement est majeur. Les MT ont vraiment décidé d'envahir cette espace de liberté d'expression, pour la banaliser... "Les blogues ? Oui ça existe. Mais on vous prévient, c'est ordinaire, voyez les nôtres !"

Êtes-vous carnetier ? Prévoyez-vous le devenir ? Dites à vos "clients" que vous n'êtes pas blogueurs. Dites à vos "clients" que les blogues, ce n'est plus ce que c'était. Parlez carnet. Pensez carnet. Dites-le à vos proches. C'est dans les carnets que les citoyens pourront peut-être prendre le quatrième pouvoir qui jusqu'à aujourd'hui appartenait, en principe, aux médias.

En 2006, c'est dans les carnets que la véritable liberté d'expression peut s'exprimer. On ne sait pas pour 2007, donc... abusons, abusons maintenant!

20 Comments:

At 11:44 a.m., Anonymous Anonyme said...

Beau texte ! On sent que l'inspiration est profonde.

 
At 7:52 p.m., Blogger Guy Vandal said...

Merci...

 
At 9:12 p.m., Blogger Guy Vandal said...

Ce billet a généré un commentaire dans le courriel. Je le republie ici car il est très pertinent.

J'aimerais ne jamais faire de fautes car je trouve que la langue francaise est vraiment "belle"... sans fautes. Sauf que c'est pas toujours évident...

***

Bonjour, j'aimerais vous faire remarquer que vous utilisez l'adverbe "sic" d'une façon erronée. Sic veut dire, lorsque l'on cite quelqu'un : "Ainsi dans le texte, aussi étrange et/ou incorrect qu'il paraisse".(TLF)
Donc, lorsqu'on cite quelqu'un, pas pour soi-même. Si on trouve étrange ou incorrect notre propre phrase, on la change.

En passant, il y aurait eu plusieurs matière à "sic" dans son texte, à Doa : «talk of the town» (sic), des versions
«uncut» (sic) de mes chroniques, un vidéoblogue y sera éventuellement greffé (sic) (un vidéoblogue a son adresse en propre, on ne peut greffé un vidéoblogue à un blogue, on peut le lier (lien hypertexte) par contre. C'est un blogue à part complèment donc. De plus, lorsqu'on ajoute des vidéos à son carnet, on rend disponible des balados vidéos ou on ajoute des vidéos en transit tout simplement à son seul et même carnet. Un vidéoblogue, c'est un blogue entièrement consacré à la vidéo donc).

Erreur de terminologie, mais Doa me parait avoir un réel enthousiasme pour ce média. Reste à voir s'il fera de la place à la communauté et aux interactions entre carnetiers qui représente une part importante de l'intérêt de ce mode de communication.

Quant au fond, ce n'est pas si mal que les médias traditionnels publient des cybercarnets. Ça peut faire connaitre le concept aux néophytes, ce qui les amènera à s'intéresser aux carnets citoyens et donc à augmenter leur
renommée et lectorat. Tout comme la musique commerciale rock par exemple peut amener quelqu'un à pousser plus loin ses découvertes, à porter un intérêt plus soutenu, intérêt nécessaire afin de pouvoir s'habituer et se familiariser avec des oeuvres plus complexes et ardues d'approches.

Autre remarque, le verbe carneter ne se conjugue pas tel que tu l'utilises. Par analogie avec les verbes français cacheter (de cachet), caqueter (de caquet) et crocheter (de crochet), le verbe normalement formé à partir de carnet est carneter, écrit avec un seul t. Selon les rectifications de l'orthographe, les formes conjuguées des verbes en -eter s'écrivent avec un accent grave et une consonne simple devant une syllabe contenant un e muet (ex. : il carnète, il carnètera, il carnèterait). Enfin, grâce aux rectifications, ils ont simplifié quelques trucs dont l'uniformalisation des verbes en -eter et -eler, sauf pour jeter et appeler (fallait bien qu'ils gardent des exceptions), ces verbes étant trop profondément enregistrés comme doublant leur consonne. Pour une fois qu'ils simplifient, profitons-en et ne compliquons pas ce nouveau verbe, alors carnètons.
(Info sur les rectifications : http://www.fltr.ucl.ac.be/FLTR/ROM/ess.html)

Désolé si mes remarques t'ont offensées de quelques façons que ce soit, ce n'était pas le but. Les carnets étant publics, ça m'agace de voir que des erreurs soient répandues par inadvertance. C'est la rançon des carnets citoyens.
C'est bien de râler parfois mais cela nous oblige alors à une grande rigueur pour ne pas s'y exposé soi-même.

Merci.
***

Merci d'avoir envoyé ce courriel, et non soit en bien certain, je ne suis pas du tout offensé. Je sais que j'ai des carences avec l'orthographe et la syntaxe. Si tu relis mon billet, tu noteras que j'ai déja corrigé quelques "affaires".

Et n'importe quand, tu es le bienvenue pour m'aider à m'améliorer. Je suis un mauvais élève mais, j'aimerais maîtriser notre langue à la perfection.

J'en ai encore pour plusieurs années, je sais... ;-)

Quant au fond comme tu dis, tu as peut-être raison. Ça amènera des lecteurs à s'intéresser aux carnets, ce qui n'est pas négatif, qu'on se le dise !

P.S. Pour ne pas s'y exposé soi-même ne devrait-il pas prendre un "r" plutôt qu'un "é" ?

 
At 9:51 p.m., Anonymous Anonyme said...

Ça demande effectivement un "R"; s'y exposer, effectivement.

Ce commentaire est bon. Oui il faut s'impliquer à la qualité de la langue française écrite, mais il ne faut pas oublier, non plus, que "carnèter" ( je préfère carnetter! Est-ce désobligeant?) demande beaucoup.

Personnellement, j'écris "passable". Cependant je n'ai vraiment pas l'intention d'ouvrir ma grammaire "Grévisse" chaque fois que je commets un texte. J'écris, simplement, avec désinvolture et confiance en mes propos. Si ça choque, on peut se mettre la langue où je pense mettre la mienne lorsque je rencontre une déesse, cependant, il s'agit de l'autre orifice.

Perso, avec mon troisième secondaire, je me permet d'envoyer allègrement chier ce faux prêtre de la la-langue à moins qu'il ne désire dévoiler son identité sur le carnet directement.

S'il n'a rien d'autre à faire, qu'il aille cueillir des fraises en Allemagne! Qu'il se construise un château ailleurs que sur les subtilités de la la-langue et qu'il lise le sens plutôt que regarder les mots...

Moi, les ti-pits linguistes, je les ai entre les cuisses, mais pas par devant!

Pauv'con!

J'espère que ce n'est pas quelqu'un que je connais! Si tel est le cas, c'est platte, je ne le connais plus! Ainsi est la grammaire de ma grand-mère. Si quelqu'un pète plus haut que le trou, bin chie d'sus! Voilà grand-maman, c'est fait.

 
At 6:57 a.m., Blogger Guy Vandal said...

je me permet d'envoyer allègrement chier ce faux prêtre de la la-langue à moins qu'il ne désire dévoiler son identité sur le carnet directement.

Ouais Esperanza, tu n'y vas pas avec le dos de la cuillère !!!

Je ne suis pas d'accord avec ta "virulence" mais ce carnet est libre...

J'aimerais maîtriser notre langue à la perfection et ce commentaire est dans mon cas, bienvenue. C'est vrai qu'il n'est pas signé, mais il n'insulte pas.

Moi personnellement, j'ai appris quelque chose !

 
At 8:25 a.m., Anonymous Anonyme said...

Et bien ! Esperanza, on dirait bien qu'il t'a piqué au vif !

 
At 8:29 a.m., Blogger Le Citadin said...

Curieusement, je crois que les journalistes (en général) ont énormément de difficulté à comprendre la réalité des médias.

Je crois aussi que les journlaistes, en ce moment, tentent de s'intégrer à la blogosphère de façon catastrophique - vous en mentionnez plusieurs exemples au cours de vos derniers carnets. Ce qui me laisse un peu d'espoir...

 
At 10:56 a.m., Anonymous Anonyme said...

Guy,

Je sais qu'il est difficile de maîtriser le français. Je sais que je fais beaucoup d'erreurs aussi. Cependant, je déteste la pédance et je n'ai que peu de respect pour les gens qui ne signent pas ce qu'ils écrivent. Ça démontre un manque de respect flagrant. Voila ce qui m'a "piqué" et ce qui a causé ma "montée de lait".

Je suis loin d'être contre le fait qu'il faille s'améliorer constamment et ce, peu importe le domaine... Je ne crois pas, ce pendant, que la critique "pédante" soit un excellent moyen d'émulation et de stimulation à l'amélioration!

 
At 12:13 p.m., Blogger André Bérard said...

À Esperanza.

C'est ta deuxième montée de lait en une semaine. La première s'étant produite dans mon carnet à la suite de la publication de mon billet sur la nouvelle loi antitabac. Toutes ces montées de lait cachent quelque chose. Serais-tu en train d'essayer d'arrêter de fumer? ;-)

Ce n'est qu'une blague, pas d'autre montée de lait s'il vous plaît, je suis sevré! re- ;-)

André

 
At 5:47 p.m., Anonymous Anonyme said...

@esperanza

Ce courriel ne devait pas être publié. Je ne voulais justement pas lui faire la leçon en public.
Bravo à ceux et celles qui suivent leur inspiration et qui publient malgré une éducation trop courte à leur gout. De beaux textes inspirés sont plus important bien sûr que des pléthores de théories vides de but.
Tu fais déjà l'effort de bien écrire, tes textes sont très bien, à ce que j'en ai vu, et tu mentionnes ton désir d'apprendre, tant mieux. Ne serais-tu pas contente de recevoir un courriel qui t'indique une erreur sur un point précis que tu fais à répétition ?

Quant à tes propos scabreux, pour ne pas dire scatologique, ça doit surement te faire plaisir que d'insulter de la sorte. Bien grand t'en fasse si ça te rend heureuse mais je ne crois pas que tu aies eu raison de le faire. Je ne corrigeais pas ses moindres fautes d'orthographe, mais deux points précis de langue. Je l'ai fait discrètement par courriel, en privé, pour Guy, parce qu'il utilise souvent sic et carneter, deux termes rares qui sont un enrichissement si on les utilise bien. Il me parassait justement vouloir utiliser une langue riche, ce qui est très bien à mon avis, alors j'ai pris sur moi de l'informer car il aurait continué de faire ces erreurs. Et il a démontré qu'il appréciait d'apprendre d'ailleurs et c'est tout à son honneur.

Et non, je ne suis pas parfait, je fais des erreurs moi aussi, surtout dans un courriel ne devant pas être publié. Publier des trucs qui seront vus par plusieurs et écrire en privé, par courriel ou en clavardage, sont deux situations bien différentes. Mais ça, c'est un autre débat. Le niveau de qualité de langue que l'on se responsabilise de produire sur un carnet public représente à mon avis la carte de visite du carnetier et influence grandement, à prime abord, la crédibilité attribuée à son propos, et ce, pour une grande partie du lectorat. Mais ça, tu en es déjà consciente.

Aussi, j'ai commenté sur le fond du débat, pas juste sur la forme. Et toi, qu'en penses-tu ? As-tu un avis sur le fond du débat ?

Enfin, pour carneter avec deux t, tu peux bien, mais écrirais-tu désoblijant comme cela juste parce que ça te plait ? Carneter est sur le GDT et, ainsi écrit, c'est une simplification bienvenue qu'on devrait être content de favoriser.

Désolé donc que tu aies trouvé pédant mon courriel qui devait être privé, je le répète.



@ Guy

La netiquette, tu connais ? On ne modifie pas un billet en ligne, sinon les commentaires ou les rétroliens s'y rapportant peuvent perdre leur pertinence et parfois créer des quiproquos fâchants pour leurs auteurs. Si on a à le modifier, on raye le texte qu'on ne veut plus (une barre au centre du mot, sans l'effacer donc. Mais, je me rends compte en tentant de publier que Blogger refuse la balise pour rayer, tu ne peux donc pas le faire sur ce carnet, malheureusement. Il vous faudra peut-être trouver un autre moyen ?) et on ajoute une précision, si nécessaire. Une personne lisant plus tard ce billet modifié pourra suivre le propos sans équivoque. Ainsi, mon commentaire sur ton utilisation de (sic) est incompréhensible maintenant que tu as modifié ton billet. Mais ça n'aurait pas été important si tu n'avais pas d'abord enfreint une autre règle de netiquette : on ne publie pas un courriel personnel sans l'autorisation de son auteur.

À bon entendeur, salut.

 
At 10:59 p.m., Blogger Guy Vandal said...

En effet, je ne dois pas connaître la netiquette...

J'ai appris que dorénavant je demanderai la permission avant de reproduire un courriel personnel dans les commentaires.

Je n'étais pas mal intentionné. Esperanza ne l'a pas bien pris, moi si. Et c'est pour ça que j'ai publié ton courriel ici. Je ne le referai plus... sans ta permission, mais j'aimerais que tu continues d'envoyer un courriel qui m'indique une erreur sur un point précis que je fais à répétition.

Ceci étant, Esperanza n'est pas une, mais un... très bon gars. Ne te fies pas à ta première impression. :-)

 
At 8:32 a.m., Blogger André Bérard said...

J'appuie en tout point le commentaire de Velero. En tant que lecteurs et participants à ce carnet, on nous met régulièrement en garde contre les excès « C'est possible de donner son opinion de manière virulente, sans tomber dans les bassesses, en restant digne. » Je crois qu'ici, Esperanza a omis de respecter cette règle que les auteurs de votre ruche imposent à ses lecteurs. Étant moi-même concerné par la qualité du français, je ne comprends pas pourquoi on se rebiffe chaque fois que l'on met en relief une erreur courante. J'avoue que le commentaire d'Esperanza m'a un peu déçu. Manque d'ouverture, à mon avis. C'est comme si on l'avait attaqué personnellement, dans sa vie privée. Ce n'est pas une attitude que l'on devrait observer chez un carnetier qui se dit libre. Je le site « Un débat non civilisé ne serait qu'une stérile guerre d'insultes... Et ce n'est pas le genre de chose qui fait avancer... Ça ne sert qu'à sanctifier l'imbécillité! »

Je crois Esperanza, qu'avant d'écrire ton commentaire, tu aurais dû te rappeler tes propres paroles.

André

 
At 8:48 a.m., Blogger André Bérard said...

Cela dit, il m'arrive à moi aussi de m'emporter sur certains sujets. Sans rancune, ami blogueur! ;-)

André

 
At 9:43 a.m., Anonymous Anonyme said...

J'avoue que j'ai dépassé les bornes et que j'ai manqué du plus élémentaire des respects. Ainsi, de façon sans équivoque, j'ose offrir mes excuses à Velero ainsi qu'à toute personne que mes propos auraient pu choquer de quelque façon.

La passion, trop souvent alimentée par les frustrations personnelles est mauvaise conseillère. Ainsi, par cet écart à l'élémentaire politesse, je ne peux que tirer une leçon.

Qu'il en soit donc ainsi.

 
At 12:20 p.m., Anonymous Anonyme said...

Merci pour votre compréhension. À une prochaine.

En espagnol, les mots se terminant en A sont féminins, ceux en O sont masculins, de là l'erreur. Désolé.

esperanza : 1. f. Confianza en que ocurrirá o se logrará lo que se desea: tiene esperanza de conseguir un puesto.
(http://www.elmundo.es/diccionarios/)

 
At 3:15 p.m., Blogger André Bérard said...

Esperanza, en ce qui me concerne tu étais déjà excusé, car nous avons tous nos mauvais jours, mais le fait de l'écrire publiquement est un geste qui t'honore. Bravo!

André

 
At 6:09 p.m., Anonymous Anonyme said...

Pardon, mais le terme "carnetier" est souillé depuis plusieurs années par le très minable Carnet Techno de Bruno Guglielminetti, le soit-disant "spécialiste en techno" et pseudo-journaliste de RadioCan. Il faudrait trouver un autre mot...

 
At 6:51 p.m., Blogger Guy Vandal said...

Eh bien nous le dé-souillerons...

 
At 6:55 p.m., Blogger Guy Vandal said...

Ceci étant c'est facile de dire très minable, anonymement.

Mais de là à ce qu'un anonyme détourne notre "mission", il faudra plusieurs pas, ou arguments, pour la changer !

 
At 8:06 p.m., Anonymous Anonyme said...

T'sé comment que j'm'e r'tiens bin là! M'a finir par m'avaler les doigts tellement je retourne ma langue! Hihihihi! Autant en rire car autant en emporte le vent!

Dust in the wind!

 

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