Pas de revue mais...

Un puissant carnet !

Le site www.rezo.net est ma page d'accueil. J'aime vraiment ce site, je vous l'ai déja dit. Aujourd'hui le texte à la UNE, c'est Maher Arar qui raconte un peu ce qui lui est arrivé à partir du moment où il n'aurait jamais dû se présenter à l'aéroport de New-York...

Il ne savait pas malheureusement que les dirigeants "ricains" étaient devenus fous !

Je m'étire un peu, mais au départ, mon but était de vous souligner un Carnetier libre... ailleurs dans le monde que je viens de découvrir, celui où j'ai lu le discours de Maher Arar. Il y a énormément à lire sur le net. Il faudrait y être à temps plein pour ne rien manquer. MAIS, ce carnet est à retenir. Ne le lisez pas si vous n'avez pas le temps.

C'est un carnet tenu par je ne sais qui. Mais les textes qu'il propose sont hallucinant de lucidité, en tout cas ceux que j'ai lu...

Des millions de chrétiens fondamentalistes, qui ont approuvé les yeux fermés la Guerre contre la Terreur, s’offusquent de la tolérance de leur parti vis-à-vis du cas isolé d’un pervers sexuel, alors qu’ils ont laissé passer sans broncher la torture à Abou Ghraïb, le bombardement du Liban par Israël et l’abandon criminel de centaines de milliers de citoyens pauvres (majoritairement noirs) à la Nouvelle-Orléans après le passage de l’ouragan Katrina.

Vous aurez deviné que l'auteur commente la gang d'huluberlus qui dirigent la Maison Blanche...

La revue hebdomadaire des carnets est temporairement suspendue, parce que je n'ai tout simplement pas le temps de tout lire... et que je suis le seul à tenir ce carnet depuis mon retour. Mais entre-temps et quand j'aurai le temps, comme j'adore lire les carnets avant tout, je vous signalerai les lectures qui m'auront intéressés, comme celle que je vous propose aujourd'hui.

J'ai l'impression que le mot temps, cet incroyable fou, revient souvent dans ce billet... ;-)

Mon nouvel emploi n'appartenant pas à la catégorie facile, je travaille fort pour à peu près..., disons pas grand chose pour le moment. Je ne désespère pas, peut-être suis-je un peu cinglé, mais j'ai déja dis que j'aimais la "liberté" que cela procurait.